Le format standard 21×29.7, est dû à l’allemand Georg Christoph Lichtenberg au XVIII siècle.
Aujourd’hui la norme dans plusieurs pays (excepté l’Amérique du Nord), il est basé sur l’homothétique, c’est-à-dire que ses proportions doivent être conservées lorsque l’on plie une feuille dans son côté le plus long.
Cette particularité permet de pouvoir reproduire chaque format A, B ou C (x) dans son format A, B ou C (x+1) ou A, B ou C (x-1) en conservant toutes les proportions de ce qui se trouve sur la page.
Les premières tentatives de légalisation de ce type de format ont pour cadre la Révolution française et les projets d’élaboration d’un cadastre, destiné à la levée de l’impôt sur la propriété foncière.